« “Je crois que les maladies,” écrit-il dans son journal, “sont des clés qui peuvent nous ouvrir certaines portes. Il y a un état de bonne santé qui nous empêche de tout comprendre (...). Je n’ai jamais rencontré l’un de ceux qui se vantent de n’avoir jamais été malades qui ne soit par tel ou tel aspect un peu sot; comme ceux qui s’enorgueillissent de n’avoir jamais voyagé” » (p. 137).