« Le Triestin Bobi Bazlen disait: “Je crois qu’on ne peut plus écrire de livres. C’est pourquoi je n’écris plus de livres. Presque tous les livres ne sont guère que des notes en bas de page, gonflées jusqu’à en faire des volumes. Je n’écris donc que des notes en bas de page” » (p. 36).