« On range dans cette dernière catégorie les démons que j’ai rencontrés moi-même près de Nola, au temple de Porto, en un lieu isolé, et sous une roche au pied de ce mont Cicala qui autrefois abritait le cimetière des pestiférés. Bien des gens les rencontrent, qui passent par là à la brune: pour ma part j’ai été frappé d’une grêle de pierres qui, rebondissant avec une grande force, ont manqué de peu ma tête et mes membres; je me sentais poursuivi de fort près, et pourtant je n’ai gardé aucune trace de blessure, comme ceux qui ont témoigné du même phénomène » (pp. 56–57).