« Dans la douleur d’une transition éducative et démographique qui s’achève, la planète tend vers la stabilité. Le tiers-monde, à travers ses poussées de fièvre idéologiques et religieuses, est en marche vers le développement et vers plus de démocratie. Aucune menace globale ne requiert une activité particulière des États-Unis pour la protection des libertés. Une seule menace de déséquilibre global pèse aujourd’hui sur la planète: l’Amérique elle-même, qui de protectrice est devenue prédatrice » (p. 221).